En ce printemps 2022, il y a toujours autant de personnes qui souhaitent se lancer dans le business de la vente en ligne, via un site e-commerce. C’est principalement autour du dropshipping que tournent les questions, car il est reconnu que c’est une activité lucrative. Mais qu’en est-il vraiment ? Avec de répondre à cette question dans cet article, nous allons déjà rappeler ce qu’est réellement ce business. Contrairement à une boutique classique sur internet, le dropshipping est un moyen de vendre des produits que l’on n’a pas directement en stock, mais qui le sont chez son fournisseur. C’est lui qui sera amené à acheminer la livraison jusqu’au client, à la place du traditionnel vendeur.
Les dépenses à prévoir en dropshipping
Le principal poste coûteux dans cette activité économique est certainement son site internet, qui est un e-commerce. C’est-à-dire que comparativement à un site classique qui ne présente que des informations à lire, il propose l’achat de produits, comme ceux d’un revendeur grossiste comme www.parisfashionshops.com. Nous pouvons alors dégager plusieurs types de dépenses :
- La création du site et sa maintenance, sachant qu’il y a de nombreuses façons de le faire. Du moins cher au plus cher, c’est d’abord de le faire soi-mêmes si on a un minimum de notions en webdesign. Il existe des outils en ligne pour facilement le faire, sans notions de code à avoir. Pour le peu que l’on soit débrouillard, le coût ne sera pas élevé et seul le facteur temps est à prendre en compte. Sinon, il est possible de demander à un tiers de réalisation le site internet, comme un professionnel du secteur. Il peut être soit freelance, soit une agence web. Dans un cas comme dans l’autre, cela va certainement coûter entre plusieurs centaines et milliers d’euros. Un coût indéniable certes, mais c’est le prix à payer pour avoir un site optimal et répondant aux standards du web. C’est une notion importante, car un site mal réalisé se verra pénalisé dans les pages de résultat des moteurs de recherche (SERP).
- L’argent à investir en campagnes publicitaires. C’est pratiquement indispensable lorsque l’on débute et que le référencement naturel de son site n’est pas encore optimal. Il s’agit alors de dépenser par exemple en AdWords pour obtenir un bon positionnement sur les mots-clés adéquats, généralement ceux de son activité de vente de vêtements. On peut aussi faire de la publicité payante sur des sites comme Facebook.
- Faire évoluer son site internet, notamment pour préciser davantage le type d’articles à vendre, en fonction du succès des premières ventes par exemple.
- Arriver à se payer un salaire, ce qui est traditionnellement difficile en début d’activité, il est rare de pouvoir dégager assez de marge pour se verser un salaire. Fort heureusement, le dropshipping de vêtements ne demande qu’une modique somme pour lancer son activité, contrairement à d’autres types de business en ligne.
Conclusion
Alors, est-ce toujours rentable en 2022 ? Le dropshipping de vêtements, nous l’avons vu, peut toujours l’être pour peu que l’on respecte certaines règles particulièrement au démarrage de son business, comme nous l’avons vu. Le meilleur conseil à donner en prime est de limiter au maximum ses dépenses, surtout celles qui peuvent s’avérer dispensables. Il ne faut, en outre, essentiellement ne pas brader les prix de ses vêtements au risque de baisser en gamme et de perdre ses premiers clients qui auraient pu être fidélisés.
